La Droite républicaine LR de Bagnolet

5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 13:21

La politique industrielle de Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy a anoncé un objectif ambitieux pour l'industrie française. Il a promis un nouveau produit d'épargne pour financer l'industrie.

Le Président Nicolas Sarkozy s'est montré volontariste lors de son discours de clôture des Etats généraux de l'industrie, jeudi matin à Marignane. L'objectif est d'augmenter la production industrielle française de 25% d'ici 2015, selon un document rendu public par l'Elysée lors du discours présidentiel.

Pour cela, le chef de l'Etat a promis pour septembre un nouveau produit d'épargne pour financer l'industrie.

Cette nouvelle politique industrielle sera financée par l'Etat dans le cadre du grand emprunt. En plus des 5,5 milliards d'euros déjà alloués aux entreprises innovantes, aux transports et à l'espace, 500 millions d'euros de prêts bonifiés «verts» seront versés aux entreprises qui investissent pour produire propre, a-t-il confirmé.

En outre, 300 millions d'euros financeront la «structuration des filières» industrielles et 200 autres millions une «prime à la relocalisation» des entreprises en France, a ajouté le chef de l'Etat.

Une «conférence nationale de l'industrie» sera par ailleurs créée et chargée, en premier lieu, de proposer en septembre des «mesures concrètes d'allègement et de simplification» de la réglementation.

Des administrateurs qui «jouent leur rôle»

Nicolas Sarkozy a également répété qu'il voulait des administrateurs publics qui «jouent leur rôle» au sein des conseils d'administration des entreprises dont l'Etat est actionnaire. Ils devraient ainsi mieux suivre la stratégie industrielle des sociétés.

Selon un document de l'Elysée, l'Etat nommera un administrateur supplémentaire, issu du ministère de l'Industrie, dans les entreprises publiques, citant les cas de Renault, la Poste et France Télécom.

«Je souhaite des administrateurs (...), qui soient passionnés de l'industrie, je souhaite que lorsque l'Etat est actionnaire, les ministres, et notamment le ministre de l'Industrie, puissent avoir deux fois dans l'année une discussion avec les patrons que l'Etat a nommés sur la stratégie d'investissement», a déclaré M. Sarkozy.

Dans sa ligne de mire, Renault. «Je n'accepte pas que le grand groupe privé automobile PSA ait les deux tiers de ses effectifs en France et que l'autre constructeur automobile ait seulement un tiers de ses effectifs en France, alors que l'Etat en est propriétaire à 15%», a-t-il dit.

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 12:34

Lettre d'Eric Raoult

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Dimanche 14 Mars, vous choisirez, comme partout en France, vos représentants au Conseil Régional.

Les élections régionales sont très importantes pour l’Ile de France.

Les socialistes dirigent cette Région depuis déjà 12 ans, et se sont aussi emparés du Conseil général, pourtant, l’Ile de France est une région Capitale qui doit bouger et qui peut changer.

Avec la Gauche, la Seine Saint Denis cumule les retards et les difficultés. Elle se sert de l’image du 93, avec une politique d’opposition clientéliste et politicienne qui gâche nos atouts et nos talents.

« L’axe rose » du Conseil général et du Conseil régional veut faire obstruction au Gouvernement.

Face à la « Gauche sectaire », la Région doit donc changer et bouger. Pour réaliser ce «Grand Paris » voulu et proposé par le Chef de l’Etat, il faut rassembler les énergies et définir les priorités de transports, de sécurité et de formation, pour une « Nouvelle Ile de France ». C’est le projet régional de l’UMP.

Pour expliquer et proposer, comme élu UMP, j’ai toujours dit ce que je pensais. Je me bats pour mes idées, mais je ne veux pas abattre celui qui ne pense pas comme moi ! C’est le respect républicain ! Vous me connaissez, mon drapeau n’est pas dans ma poche.

Je n’ai qu’un seul camp, celui de mes engagements et de ma famille politique. Militant gaulliste, je suis, reste et resterai toujours fidèle et loyal à l’UMP, et surtout au Président de la République.

Face à la Gauche menaçante, je veux le succès de la droite apaisante.

Pour la Ville du Raincy, je ne veux pas des dangers du « Tout PS » qui isole toujours notre Ville, sans cesser de la critiquer, faute de nous ressembler.

Pour notre Ville, le futur Grand Paris doit s’inspirer du Raincy et pas de Bobigny ou de Bondy. Pour l’Ile de France, il faut une vraie Majorité Nationale qui puisse prendre les rendez vous d’un avenir en Capitale.

Il faut tourner la page HUCHON, comme nous avons tourné les chapitres MITTERAND et JOSPIN. Il faut refuser que la Gauche se serve de notre Région pour bloquer la Nation et gêner le Président de la République.

Pour changer la Région, il faut une autre Majorité au Conseil Régional d’Ile de France.

Un seul choix est possible, pour être efficace et pour peser sur l’avenir de notre Région.

Dimanche 14 Mars, votez et faites voter pour la liste UMP en Seine Saint Denis, menée par Bruno BESCHIZZA et conduite par Valérie PECRESSE.

Eric RAOULT

Maire du Raincy

Ancien Ministre

Député Maire du Raincy

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 07:20

Conseil Municipal du jeudi 25 février 2010

Lors de ce conseil municipal, Laurent Jamet a réaffirmé que la manière utilisée pour expulser le squat était normale et peut-être seul méa-culpa la date n'était pas la meilleure. A noter que le maire normalement premier magistrat de la ville n'a as dit un mot sur ce sujet.

La majorité municipale constituée de communistes extrémistes, de membres d'associations opportunistes, d'anciens socialistes qui ont cherché des places a présenté une motion au sujet de la situation Palestinienne.
Le texte présenté était une charge dans un seul sens contre Israel et dédouannant complètement le organisations palestiniennes qui par des attentats tuent régulièrement des femmes et des enfants israéliens.

Dans le cas de ce conflit il n'y a pas les bons d'un côté et les méchants de l'autre, les rapports le disent clairement des deux côtés il y a eut des attrocités de commises. Pour la mairie de Bagnolet seuls les israéliens sont responsables.

J'ai eu l'outrecuidance de le dire, la réponse qui est venue, car pour une fois on a daigné répondre à une de mes interventions, a été par la bouche de M. Bénaissa que la droite présente au conseil municipal était en fait de l'extréme droite, des personnes du public nous ont insulté et monsieur le maire n'est pas intervenu alors que cela était de son devoir.

Aprés avoir demandé que M. Bénaissa retire ces propos et qu'il eut refusé nous avons quitté la séance pour protester contre ces manières staliniennes.

La mairie une fois de plus a choist son camp et fait une politique de préférence municipale pour une partie de la population de Bagnolet.

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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 10:03

Conseil Municipal jeudi 25 février 2010

Samedi matin dans la boite aux lettres une enveloppe contenant les documents pour le prochain conseil municipal annonçait que celui-ci allait se dérouler le jeudi 25 février 2010, sans excuses pour l'annulation du précédent, sans explications. Une fois de plus le fait du Prince de Bagnolet.

Si vous voulez voir une mairie en perdition mais dont le maire est dans le dénie le plus total, si vous voulez voir les méthodes staliniennes de gouvernance, venez jeudi soir à 20h30.

Il faut que vous soyez témoin pour ensuite pouvoir dire à vos parents , amis, voisins la réalité de la situation de notre ville.

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 08:10

Evacuation musclée par la mairie de Bagnolet du squat de la rue Victor Hugo à Bagnolet

La mairie de Bagnolet a perdu tout sens de la mesure. Sous la neige, sous une température négative, la mairie de Bagnolet envoie un bulldozer détruire un immeuble et laisse des familles dans la rue.

Je ne connais pas le détails de cette affaire mais si les squat doivent disparaitre, cela ne se discute pas, la situation des hommes, des femmes et des enfants qui y sont doivent être prise en compte et ce n'est pas la méthode qu'à utiliser la mairie de Bagnolet qui a préféré la force plutôt que le dialogue.

L'UMP de bagnolet dénonce les méthodes de la mairie et s'interroge sur la manière dont les forces de l'ordre sont intervenus s'ils s'avérent que les personnes en cause ont perdu leurs affaires et leurs documents administratifs, cela n'est pas admissible.

Maintenant le minimum que doit faire la mairie c'est héberger ces personnes.

Cerise sur le gâteaux, le conseil municipal a été annulé à la dernière minute, le maire et ses accolytes ayant peur des réactions de leurs concitoyens.

Nous savions que la municipalités de Bagnolet était incompétente maintenant nous savons qu'elle manque singulièrement de courage et que sa devise devant les difficultés est courage fuyons.

Dépêche AFP 11/2/10

La mairie de Bagnolet et la préfecture de la Seine-Saint-Denis ont tenté de justifier jeudi l'évacuation la veille, par la police, d'un squat dans cette ville, alors que l'association Droit au logement (Dal) dénonçait toujours "une expulsion en plein hiver".
La préfecture a fait valoir jeudi que les autorités n'étaient pas liées à la trêve hivernale dans le cas de cet immeuble de Bagnolet, car il s'agissait d'un squat.
Selon les autorités, vingt personnes, uniquement des hommes, vivaient dans ce squat. Pour le porte-parole du Dal Jean-Baptiste Eyraud elles étaient une quarantaine (et non plus 80 comme annoncé mercredi par l'association), avec des enfants.
Pour la mairie communiste, ce squat était "bien connu des services de police pour les risques qu'il générait en terme d'hygiène et de sécurité". Il s'agissait d'un "lieu de trafic de drogue, de voitures, de prostitution, de tapage nocturne incessant qui durait depuis plusieurs années", affirme la mairie dans un communiqué.
Le Dal reconnaît qu'"il est possible qu'il y ait du trafic dans le secteur, mais qui n'émane pas des occupants". "Selon les expulsés, il y a eu une intervention de la police il y a trois semaines, mais ils ont été libérés sans poursuite après la perquisition", a précisé M. Eyraud.
Le squat aurait été évacué mercredi à l'aide de bulldozers, selon le Dal, ce que nie la mairie.
La mairie et la préfecture ont affirmé que des solutions d'hébergement d'urgence avaient été proposées, mais que tous les expulsés les avaient refusées. Selon un militant du Dal sur place, une solution a été proposée dans la nuit de mercredi à jeudi, à 2 heures du matin, par un commissaire, dans un centre d'hébergement, qu'il aurait fallu quitter à 6 heures du matin.
En outre, la police a procédé à l'évacuation forcée d'une cinquantaine de personnes, des squatteurs, des militants du Dal et des voisins, qui s'étaient rassemblés devant le squat, ont constaté des journalistes de l'AFP jeudi en milieu de journée.
"Nous dénonçons cette expulsion à Bagnolet en plein hiver, la destruction des biens des gens, l'absence de solution de relogement", a déclaré le porte-parole du Dal. "Il n'y a pas d'urgence à mettre les gens dehors en plein hiver", a ajouté Jean-Baptiste Eyraud.
La préfecture indique elle que l'opération d'évacuation "conduite à la demande de la ville de Bagnolet, faisait suite à une décision de justice du tribunal d'instance de Pantin en date du 17 février 2009".
La mairie est propriétaire de l'immeuble depuis juin 2009 et assure avoir le projet d'y construire 50 logements sociaux.
Bien que la mairie soit dirigée par le communiste Marc Everbercq, le PCF a dénoncé "des méthodes d'un autre âge" après l'évacuation du squat "en pleine trêve hivernale et dans une période de grand froid", et demandé que l'Etat "prenne ses responsabilités pour que des solutions de relogements pérennes soient trouvées au plus vite".
La Ligue des droits de l'Homme (LDH) a demandé dans un communiqué "que des solutions de relogement soient proposées d'urgence à ces familles", déplorant qu'il ait été procédé "à cette expulsion sans avoir laissé aux familles le temps d'emporter leur affaires".

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 18:28

Conseil Municipal annulé à la dernière minute...

17h20, un appel téléphonique m'annonce comme aux autres représentants de la municipalité de Bagnolet que la réunion du Conseil Municipal de ce soir est annulée sans explication sans date de report sans rien.

Le Conseil ne s'est pas réunis depuis fin décembre.

C'est le grand n'importe quoi de l'incompétence qui est élévé au rang de la gestion municipale.

Nous devons changer les choses, avec ceux qui ne veulent plus de ces hommes du passé à la tête de notre belle ville.

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 10:45

Il y a 20 ans Nelson Mandela était libéré...

Pour les jeunes Sud-Africains, la libération de Nelson Mandela il y a vingt ans est à peine un événement.

«L'apartheid, je sais ce que c'est. J'en ai entendu parler à la télé. Mais la discrimination que nos parents ont connue, ça nous paraît très loin. Nous, on est libres. Libres d'aller à l'école qui nous plaît ou de faire le travail qu'on veut. Notre vie est très cool aujourd'hui», assure Pumla, 16 ans. Née après la libération de Nelson Mandela - intervenue il y a tout juste vingt ans, le 11 février 1990 -, Pumla fait partie de cette génération de Sud-Africains que l'on qualifie de born free («née libre»). Blancs ou noirs, riches ou pauvres, ces moins de 20 ans sont généralement plus optimistes que leurs aînés. Mais on ne les verra guère ce jeudi aux cérémonies commémoratives du vingtième anniversaire de la libération du héros national. Généralement apolitiques, ils sont plus intéresses par le hip-hop que par les chants révolutionnaires du Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994 en Afrique du Sud.
Enterrer le passé

Au lycée d'Itlamganiso (Khayelitsha, banlieue du Cap), où Pumla est en classe de seconde, on n'organise rien de spécial pour cet anniversaire. Les enseignants sont déjà suffisamment préoccupés par la Coupe du monde de football, qui leur fera manquer plus de deux semaines de cours en juin prochain. «Pas question de perdre plus de temps. Il nous faut assurer le plus de leçons possibles. Les résultats au dernier baccalauréat ont été catastrophiques dans la township», explique une enseignante. Résultat : on remplace les cours de sport par du soutien en mathématiques. Quant aux cours d'histoire, considérés comme «non prioritaires», ils ne seront maintenus cette année qu'en classes de quatrième et de troisième.

L'histoire de l'apartheid est officiellement enseignée dans les écoles sud-africaines. Mais le système public dispose de moins en moins de professeurs dans cette discipline. Alors, le passé passe par pertes et profits. «Il faut nous comprendre. Vu le manque de ressources et les conditions du marché du travail, on préfère orienter les jeunes vers des carrières informatiques ou médicales. C'est là qu'ils auront du boulot», explique Duke Ngcukana, le principal du lycée d'Itlamganiso. Conscients du combat de leurs aînés, les born free en connaissent mal les détails. «À part Mandela, la plupart des combattants qui nous ont libérés sont inconnus des enfants. En un sens, c'est bien, car on fait tout pour enterrer les horreurs du passé et s'orienter vers l'avenir», plaide le chef d'établissement.

L'ouverture de l'ancien pays de l'apartheid dans les années 1990 a coïncidé avec une explosion de la consommation dans une société devenue plus matérialiste. Ces jeunes, dont le revenu a augmenté de 40 % depuis 1994, sont plus intéressés par les iPod et les ordinateurs que par les livres d'histoire. Même la Constitution sud-africaine leur est mal connue. «Ce n'est plus la question raciale qui différencie aujourd'hui les centres d'intérêts des adolescents sud-africains, c'est une question de portefeuille. Il y a ceux qui peuvent acheter et il y a ceux qui ne peuvent pas, mais qui ont les mêmes aspirations», observe John Simpson. Ce professeur de marketing à l'université du Cap étudie depuis plusieurs années les tendances des born free. Avec l'augmentation des disparités salariales, le schisme se situe surtout entre les have not et les have lots.
Préférence à l'embauche

Conscients du phénomène, les responsables du parti au pouvoir ont cherché à se moderniser. À la veille des élections de 2009, ils ont fait campagne a coups de jolies filles aux tee-shirts moulants. Les «poupées ANC» exhibaient alors sur leur généreuse poitrine des slogans en grosses lettres de couleur or, du type «ANC rocks».

Mais les partis politiques ont beau courtiser la génération Mandela - qui représente plus de 30 % de la population - personne ne semble l'avoir séduite. Qualifié de «révolutionnaire Gucci», le très controversé Julius Malema, patron de la jeunesse à l'ANC, n'a pas convaincu. Les partis d'opposition ne les attirent pas beaucoup non plus. Toujours nombreux à s'abstenir lors des élections, les moins de 20 ans critiquent la corruption des politiciens et se reconnaissent de moins en moins dans les discours réducteurs du parti unique.

Ce manque de confiance dans les institutions politiques est encore plus marqué chez les jeunes Blancs. «Ils sont nettement moins confiants dans l'avenir que leurs camarades de couleur, fait remarquer John Simpson. Avant, tout le monde avait du travail. Aujourd'hui, le marché de l'emploi est plus compétitif, et surtout il y a des lois qui imposent une préférence à l'embauche pour les Noirs. Cela joue un rôle décisif dans l'état d'esprit des jeunes Blancs.»

Blancs, Noirs, Indiens ou métis, tous en tout cas reconnaissent en Nelson Mandela le fondateur de leur nouvelle société. «Quelles que soient nos origines, c'est notre grand-père à tous. Sans lui, on ne serait pas ici, en paix, tous ensemble. Madiba (son surnom, NDLR) fait partie de nos racines à tous», conclut Brad, 20 ans, un rouquin assis en tailleur sur les marches de l'université du Cap, une jolie métisse à son bras.

( Le Figaro 11/2/10)

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 07:37

Communiqué de la Ligue des Droits de l'Homme

Section Bagnolet Les Lilas de la ligue des Droits de l'Homme

Au sujet du sort réservé aux habitants du 35, rue M-A Colombier à Bagnolet

La Ligue des Droits de l’Homme, section de Bagnolet — Les Lilas (Seine-Saint-Denis), a été interpellée par la situation réservée à cinq familles dont une dizaine d’enfants dans des conditions particulièrement insalubres et dangereuses au 35, rue Marie-Anne Colombier à Bagnolet (93). Elle condamne l’attitude du propriétaire qui maintient des locataires dans un immeuble en chantier, sans toit, en insécurité et en péril, avec des risques aggravés d’incendie, d’électrocution et d’inondation. Elle demande aux autorités compétentes de prendre de toute urgence des mesures pour aider au relogement des familles.

Par ailleurs, la section de la Ligue des Droits de l’Homme de Bagnolet — Les Lilas est choquée du traitement infligé aux occupants de l’immeuble du 92, avenue Victor Hugo à Bagnolet en cette période de grand froid. Elle s’étonne des conditions de leur expulsion ce mercredi 10 février et demande instamment que des mesures de protection soient envisagées en rapport avec ces intempéries.

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 14:19

Les élections régionales, un mot de Jean Michel Bluteau Conseiller Général de Villemomble

Dans un mois et demi, se déroulera le 1er tour des Élections régionales. Entre autres raisons de mon peu de prise de parole actuellement, je précise ne pas vouloir que mes contributions sur ce blog ne puissent être comptabilisées dans le compte de campagne de la liste d’union UMP – Nouveau Centre – Gauche Moderne – MPF – Les Progressistes.

Puisque en effet, je soutiens, voterai et appelle à voter pour la liste conduite par Valérie PÉCRESSE.

Toutefois, j’adresse ici un message et un éclairage qui me semble important au stade de mes réflexions. Il y a peu d’intérêt pour cette campagne électorale. Il y a de vraies fausses routes que les manchettes des journaux nous font faire, où on ne parle pas des vrais sujets, mais plutôt des ragots, des affaires soit disant politico-judiciaires, des déclarations malheureuses, et des invectives par média interposés… Il serait préférable de parler des deux seuls domaines pour lesquels les Régions sont compétentes : les transports et les lycées. Pour être honnête, je ne parle pas volontairement de la formation professionnelle ou le développement économique qui sont des sujets où les efforts des Conseils Régionaux sont moins palpables, et plus complexes à mettre en œuvre en période de crise économique.

Si on parle de Transports et de Lycées, on parle d’Investissement. C'est-à-dire que l’on parle d’infrastructures qui mobilisent beaucoup d’argent, et de réalisations palpables ensuite au service des gens.

Je veux que vous ne reteniez que deux chiffres : en 12 ans de Présidence de Jean-Paul HUCHON, la Section Investissement du budget Régional n’a augmenté que de 13,50 %. C’est consternant quand on voit l’état de nos transports et de la demande qui explose littéralement sur des lignes comme le RER A ou la ligne 13 du Métro. Pendant ce temps-là, tenez-vous bien, la section Fonctionnement, c'est-à-dire ce que l’on paye mais qui ne reste pas (prestations, Communication, Promotion, subventions…) a augmenté de 203,00 % !!!

La politique de la région depuis 12 ans c’est du vent… beaucoup de vent et 4 stations de métro puis 2 Lycées !! A l’inverse, au cours des années 70, le Président du Conseil régional KRIEG mettait en œuvre le réseau RER et en quelques années, faisait réaliser les tracés dans Paris… C’est sur ce travail considérable que nos transports franciliens reposent aujourd’hui.

Apprenez ensuite que, les deux actuels Vice Présidents en charge de ces secteurs (Transports et Lycées) ne sont pas repris par l’équipe HUCHON. Alors, qu’ils souhaitaient tout deux repartir, Serge MÉRY – mon homologue Conseiller Général d’Épinay – et Elisabeth GOURÉVITCH ne seront pas en lice pour le scrutin de mars prochain.

Jean-Paul HUCHON décide de ne pas les prendre pour ne pas assumer le bilan catastrophique de leur gestion. Il les passe par les armes pour tenter de convaincre les électeurs que demain, il va mettre « le développement des transports au coeur de son projet et a promis de poursuivre sa "révolution des transports" ». Sans blague, cette dernière phrase est issue de sa conférence de presse de ce matin pour présentation de son programme.

Alors, très franchement, concentrons-nous sur les deux seuls vrais sujets qui ouvrent débat en région Ile de France et convenons tous que ces sujets n’ont pas été bien traités par la majorité sortante.

Seule la liste PÉCRESSE peut sortir HUCHON et son équipe et changer la région dès ce mois de mars.

Pensez à cela le 14 puis le 21 mars prochains. Le reste n’est pas le plus important.

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 11:58

Quand la municipalité ne répond plus...

Toujours pas de conseil municipal en vue, aucune information, les jours passent et des décisions sont prises sans que les représentants des citoyens de Bagnolet ne soient consultés, combien de temps cela va t-il durer?

La ville est toujours aussi sale, l'insécurité grandit jour aprés jour, on trouve des Kalatchnikov en plein centre ville mais tout va bien, il n'y a rien à voir, circuler...

Il va falloir que cela change, c'est pourquoi il ne faut pas hésiter à nous contacter pour nous donner des informations que nous répercuterons auprés de l'ensemble des Bagnoletais.

Lors des élections régionales vous devez votez pour la liste de Valérie Pécresse et faire voter pour que la municipalité communo-socialo-verdatre qui dirige Bagnolet sache que sa fin est proche.

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